Hayashi Kaku exploite la malléabilité de l’argile pour exprimer ses idées à travers une série dynamique d’œuvres sculpturales inspirées de la philosophie zen ainsi que des forces élémentaires de la nature.
Diplômée de l’Université des Arts de Tokyo et étudiante du Trésor national vivant Fujimoto Yoshimichi , Hayashi explore l’essence même de l’argile en remettant en question sa flexibilité, la forçant à se conformer à sa direction dans un processus qui prends du temps.
J’aime sa manière de penser mais également ses oeuvres m’ont inspiré pour le côté répétitif, infini.
Cette harmonie entre la rondeur et les angles.


Elle est inspirée par le cycle de la vie et de la mort.Son travail consiste en des céramiques sont des représentations de « boucles », de « l’infini », de « passé et présent » et d’autres manifestations qui, pour elle, commencent et finissent « à partir de zéro ». Dans tous ses travaux, mais surtout dans ses pièces intitulées Zéro, elle trouve un sens de la paix ou du wa japonais.